LE COPILOTE
             Le copilote où aussi appelé « navigateur », même si cette appellation n’est pas la meilleur, car celle-ci limite sa fonction à une seul tâche, d’annoncé les notes en « spéciale ». Ce qui est bien loin de la réalité.
              Malheureusement il est très peu récompensé par ces efforts car sa mission est généralement mal comprise du grand public. C’est pour cela que je vais tenter de vous expliquer le « travail » de copilote.
L’AVANT RALLYE
 
L’analyse du parcours
 
              Plusieurs jours avant le rallye (généralement deux semaine précédant l’épreuve) le coéquipier dois s’informer sur le règlement du rallye à venir et le lire pour en connaitre toutes les subtilisées. Il doit rester informé de tout changement de règlement ou autre jusqu’au départ de l’épreuve.
              Ensuite il analyse le parcours en reprenant les notes prisent les années précédentes (si le rallye a déjà été fait par l’équipage bien-sûr) pour ce remémoré les différentes spéciales qui seront parcourus. Cela lui permettra aussi de voir si des modifications de parcours ont été apportées.
« Personnellement pour me rappeler de la spéciale j’utilise Google Earth, cette outil me permet également de préparé les reconnaissances à venir en me donnant une idée sur le routier (liaison entre chaque ES) que nous allons prendre, l’avantage de ce logiciel est qu’il permet de visualiser la route par des photos ce qui m’aide à prendre des points de repères pour me faciliter la navigation. »

Les reconnaissances
 
              Pour les reconnaissances le copilote ce doit d’avoir tout le matériel pour une bonne prise de notes. Les principaux « outils » nécessaires sont deux voir trois crayons a papier avec une gomme et un taille crayons, un stylo bille pour le pointage, plusieurs cahier à spirales de préférences (car celle-ci facilite le changement de page) de l’eau et bien sûr le road book de l’épreuve.
              Les « recos » ce ferons avec une voiture de série, et généralement typée sportive avec des suspensions dure pour éviter de trop brasser le copilote, sinon ces écrits seront des hiéroglyphes purement illisible.

              Au premier passage le copilote ne voit quasiment pas la route car il est sans arrêt en train de copier ce que le pilote lui dicte mais il ne doit pas perdre le road book des yeux car il ne doit pas oublier d’indiqué les changements de directions et autres chicanes. Pour le second passage le navigateur annonce les notes au pilote qui hausse le rythme, ce qui lui permet de se rendre compte du comportement du véhicule pour donner des précisions aux notes. Et enfin pour le troisième et dernier passage le coéquipier annonce les notes qui seront très peu modifiées.

La semaine précédant le rallye
 
              Durant cette semaine le copilote dois recopier les notes prisent lors des reconnaissances tout en prenant soins de ne pas se tromper. Car la moindre erreur peut être fatal, c’est pour cela qu’il se doit de relire plusieurs fois ces notes, « personnellement je reprends les vidéos de caméras embarquées et je site mes notes par rapport à la vidéos ce qui me permet de les contrôlés avec plus de précisions et je peux également voir si nous avons oublié quelques obstacles ou si nous avons sur noté ou sous noté ». Il doit également reprendre le road book pour déceler les moindres erreurs cela lui permet aussi d’apprendre le parcours et de ce le remémorer.

LE JOUR DU RALLYE
 
Les vérifications
 
            Avant les vérifications le copilote doit préparer tous les documents qui devrons être présenté (licences, permis de conduire…), il doit également contrôler si tout est OK dans la voiture (car il faut que tous l’équipement (casques, combinaisons…) soient présent). Et c’est seulement à ce moment-là que la voiture peut être présentée aux commissaires techniques.
Avant le départ du rallye
 
              L’équipage arrive au parc fermé environs une demi-heure avant leur horaire de départ, ce qui permet au copilote de revérifier si sa montre est à l’heure officiel du rallye, il control également sont heure de départ pour la confirmer.
Départ du rallye
 
              Au départ du rallye l’équipage passe sur le podium, le copilote ce rend au Contrôle Horaire 0 (CH0) ou l’organisation fournit le carnet de contrôle qui seras gardé précieusement, car si celui-ci est perdu l’équipage est exclue du rallye.
Le pointage
 
              Je vais tenter de vous expliquez le pointage le plus clairement possible. Le but du pointage est de permettre à l’organisation de suivre les équipages tout au long de l’épreuve. Pour cela des commissaires sont postés à des endroits stratégiques appelés CH. Le copilote doit donner son carnet dans l’heure idéale de pointage à la minute près. Pour que vous compreniez mieux je vais vous exposé un exemple.
              Les points de contrôle CH1 et CH2 sont séparés de 20 kilomètres qui doivent être parcourus en 30 minutes. A partir de là le copilote doit calculer l’heure idéal de pointage au CH2 en ajoutant les 30 minutes à son heures de pointage du CH1. Imaginons qu’il est pointé à 17h23min au CH1, il devra ajouter 30 minutes à 17h23min pour avoir sont heures de pointage au CH2, donc il pointera à 17h53min. Vu que le pointage ce fait dans la minute il devra poser son carnet d’itinéraire sur la table de pointage entre 17h53min et 17h53min et 59 secondes. Le copilote  n’a pas le droit à l’erreur car si cet horaire n’est pas respecté l’équipage encourt des pénalités allant de 10sec par minutes de retard (5sec en régional) et de 60sec par minutes d’avances (30sec en régional).

Les notes
       
              Il n’y a pas de système de note universel, c’est pour cela que je vais vous décrire les nôtres. Voilà l’exemple d’une page de notes. Je vais vous là décryptez :
notes
100 mètres long gauche à fond sur gauche 140

Droite 80 sale pour long gauche 140 pour droite 140

200 mètres ciel à fond pour

100 mètres gauche 140

100 mètres droite 120

Gauche 120 attention étroit en sortie
Attention bosselé                                    
   

Les 120 et 140 (que vous pouvez voir sur cet exemple) représente les virages. Voilà ce que sa représente pour nous.

virages 
 
Nous avons aussi des indications plus précises comme :
Corde qui veut dire que l’on peut couper le virage où a l’inverse pas corde. Il y a aussi des repères comme au rocher, à la maison… Nous avons des indications sur l’état de la route comme noir ce qui veut dire que le goudron a fondu ou par moment on note sale lorsque la route c’est transformé en chemin. Mais il y a aussi les bosses et le ciel c’est lorsque l’on arrive pas à visualisé ce qu’il y derrière une petite bosse.
Lorsque je relève les notes j’utilise des abréviations pour pouvoir prendre le moins de place possible et que ça soit rapide à écrire comme :


  • / = pour  
  • // = sur  
  • !  = attention 
  • AF = à fond
  • L = long 
  • l = léger
  • M = mètre
  • ref = referme
 

Je fais aussi des dessins pour représenter un arbre, une maison, une barrière, un pont…       Je souligne d’un trait qu’un il faut faire attention et de deux traits lorsque c’est très dangereux. Et je numérote mes pages pour me faire un repère au cas où je saute une page, mais pour éviter cela je corne le coin supérieur droit pour faciliter le changement de page.

              Pour annoncées les notes il ne faut pas allé ni trop vite ni trop lentement, il faut que la note tombe au bon moment, il faut également modifier l’intonation de la voix pour guider le pilote, cet a dire qu’elle peut indiquer qu’il faut attaqué ou bien levé le pied pour éviter la sortie.

Une confiance absolue
 
              Pour que tout ce passe bien il faut avoir sacrée complicité. Il faut que le pilote est confiance au copilote car lorsqu’il annonce un droite à fond le pilote n’a pas le droit de levé le pied.
              

En espérent que sa vous est plus.





 
 
 



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